FRATERNITE, ENTRAIDE SPIRITUELLE
NOTRE DAME DE PONTMAIN
NOTRE DAME DE PONTMAIN
Ce soutien se présente sous la forme suivante :
1er : accueil téléphonique
2eme : soutien par la prière
Cette fraternité ne peut apporter aucun secours matériel,
car elle est composée de bénévoles et ne jouit d’aucun soutien financier.
(Elle n’accepte aucun don ni en nature ni financier)
Pour la zone Nord (de Dunkerque à
Pour la zone Sud (de
Ces deux numéros, ainsi que les autres à venir, sont au
service de toute la communauté catholique de langue française dans le monde.
Ces numéros étant distribués par Free Téléphone leur coût
est celui d’une communication au tarif France Télécom s’il s’agit d’un appel
sur le réseau France Télécom à partir d’un fixe ; pour ce qui est des
portables et autres distributeurs le réseau Free ne modifie en rien les
tarifications en vigueur.
Règle générale pour les membres bénévoles au soutien
spirituel :
1er : Le priant s’engage à fréquenter
régulièrement le sacrement de réconciliation ou de pénitence (la confession),
si possible une fois par mois.
2eme : Il s’efforce d’assister à la messe
quotidienne autant que possible.
3eme : Il s’engage autant que son ou ses
devoirs d’états le lui permettent à :
a) réciter le chapeler une fois dans la journée.
b) méditer une fois par semaine le chemin de Croix de
Notre Seigneur, le vendredi de préférence, pour les intentions qui lui sont
confiées.
c) entreprendre par mois une neuvaine de prière de son
choix ou parmi celles que lui propose
d) selon son état de santé, il peut également et avec
prudence, pratiquer un jour de jeûne par semaine ou par mois aux intentions qui
lui sont confiées.
Il est fortement recommandé de renouveler quotidiennement
sa consécration à Marie selon la prière de consécration de Saint Louis-Marie
Grignion de Montfort.
Pour les accueillants téléphoniques, ils suivront une
petite
formation qui leur sera communiquée par courrier ou par
mail.
Sa création répond à une demande de Jean Paul II le
Grand, elle est le fruit d’une lente réflexion et intuition mue par l’Immaculée
Conception,
Elle n’a aucun but lucratif.
Le site : lescatholiques.free.fr et
Prières proposées :
NEUVAINE EN
L’HONNEUR DE SAINT JOSEPH
Premier
Jour :
Glorieux et
aimable Joseph, je viens vous invoquer pendant neuf jours sous un titre qui
vous est cher. Vous avez beaucoup aimé le Cœur de Jésus et ce divin Cœur vous a
infiniment aimé ; vous en êtes vraiment l’ami par excellence. Autre est la
clarté du soleil, autre la clarté de
Je me joins à
eux, Ô Joseph, je vous salue, Ô doux modèle et patron et vous prie de
m’accorder ce que je vous demande pendant cette neuvaine.
Saint Joseph,
modèle et patron des amis du sacré Cœur, priez pour nous.
Deuxième jour :
Saint Jean, le
disciple bien-aimé, fut choisi par Jésus pour sa pureté virginale ; il a
reposé sa tête sur le Cœur sacré ; il a été le gardien de la plus pure des
vierges et de Jésus lui-même. Ô aimable Saint Joseph, ce que Saint Jean n’a
fait qu’une fois vous l’avez fait bien souvent.
Jésus aussi a
reposé sa tête innocente sur votre Cœur si pur. Marie,
Oh !
Penchez-vous encore sur le Cœur de Jésus, et, vous unissant à Notre-Dame du
Sacré-Cœur, demandez à notre divin modèle de me rendre doux et humble de cœur.
Obtenez-moi de lui ce que je vous demande pendant cette neuvaine.
Saint Joseph,
priez pour nous.
Troisième
jour :
Le précurseur du
Messie, Saint Jean-Baptiste, s’est appelé « l’ami de l’Epoux ».
Il a prêché dans
le désert et annoncé le Sauveur. Il a été un modèle de mortification. Vous, Ô
glorieux Saint Joseph, vous avez été « l’ami de l’Epoux et de
l’Epouse ». Vous avez vécu avec eux. Vous avez porté Jésus dans vos bras,
dans les déserts de l’Egypte ! Vous avez pratiqué une mortification
continuelle et vous avez prêché par un silence éloquent.
Rendez-moi, Ô
bienheureux Père, l’ami de Jésus et de Marie, l’ami de la mortification et du
silence. Accordez-moi ce que mon cœur désire, toujours conformément à la
volonté de Dieu que vous avez si parfaitement accomplie.
Saint Joseph,
priez pour nous.
Quatrième
Jour :
Jésus a appelé
Lazare son ami. Lazare a reçu plusieurs fois Jésus à Béthanie.
Vous, Ô Saint
Joseph, vous l’avez gardé pendant plusieurs années, Jésus n’était pas à la mort
de Lazare : il était loin ; mais il a assisté à la vôtre, vous
donnant la main dans le passage du temps à l’éternité. Il a ressuscité Lazare
et nous croyons pieusement, quoique ce ne soit pas de foi, que vous êtes en
corps et en âme dans le ciel.
Ô ami privilégié
de Jésus, faites-moi vivre en union avec lui. Qu’il habite toujours avec moi
par la foi et par la grâce.
Qu’il ne
m’abandonne pas à l’heure de la mort. Que je meure en sa compagnie, en celle de
Marie et en la vôtre.
Qu’il me place à
côté de vous dans le séjour des élus.
Ô Saint Joseph,
obtenez-moi les autres grâces que je vous demande.
Cinquième Jour :
L’Evangile nous
dit que Jésus aimait Marte. Celle-ci a servi Jésus quelquefois ; vous, Ô
Joseph, vous l’avez servi pendant de longues années ; vous l’avez servi du
matin au soir et du soir au matin. Marthe était troublée dans sa sollicitude,
et vous, vous avez servi Jésus en paix et dans les plus pénibles circonstances.
Marthe a nourri quelquefois le divin Sauveur ; vous, vous n »avez pas
oublié « l’unique nécessaire ».
Oui, vous êtes
l’ami de prédilection et le père nourricier de Jésus. Je vous confie mon âme,
nourrissez-la des vertus que vous avez pratiquées. Faites-moi éviter le trouble
et l’agitation. Enseignez-moi l’unique nécessaire et obtenez-moi les grâces que
je demande au Cœur Sacré de Jésus.
Sixième
Jour :
Le saint Evangile
nous dit encore que Jésus aimait Marie-Madeleine. Cette illustre Sainte a
arrosé des larmes du repentir les pieds de Jésus. Vous, Ô saint Joseph, vous
les avez arrosés des larmes de la tendresse. Madeleine lui a prodigué ses
parfums, vous lui avez prodigué vos sueurs et vos peines. Madeleine a baisé les
pieds de Jésus, et vous, Ô Saint Joseph, vous avez baisé ses innocentes mains
et son front serein ; vous l’avez pressé contre votre cœur. Madeleine le
cherchait, après sa mort, pendant qu’il vous visitait dans les limbes.
O ami par
excellence du cœur de Jésus obtenez-moi le pardon de mes péchés, des larmes de
repentir et d’amour. Que je travaille désormais pour la gloire de ce Cœur Sacré
et l’avènement de son règne. Daignez m’obtenir aussi les grâces que je demande
pendant cette neuvaine.
Septième
Jour :
Je ne vous
appellerai plus serviteurs, disait Jésus à ses apôtres, mais je vous appellerai
« mes amis », parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son
maître.
A vous j’ai fait connaître
tout ce que j’ai appris de mon Père. Ô glorieux Saint Joseph, vous avez connu
avant les apôtres le grand mystère de l’Incarnation. Que de secrets après
celui-là Jésus ne vous a-t-il pas révélés ! Comme les apôtres, vous êtes
allé porter le Sauveur aux nations étrangères, au péril de votre vie ;
Avec Marie vous avez été le premier missionnaire du Sacré Cœur ; vous avez
été le martyr caché et inconnu du secret de l’Incarnation et vous êtes mort
d’amour pour Jésus.
Saint Joseph,
rendez-moi, en quelque manière votre imitateur. Nous pouvons tous être plus ou
moins les missionnaires du Sacré-Cœur ; Embrasez mon cœur du feu de votre
zèle et de votre amour pour le divin cœur. Je vous demande de nouveau la grâce
particulière de cette neuvaine.
Huitième
Jour :
L’Exode nous
dit : « Le Seigneur parlait à Moïse face à face comme un homme a
coutume de parler à son ami ».
Le Verbe fait
chair vous parlait véritablement face à face, Ô grand Saint Joseph ! Il ne
vous parlait pas sous une forme mystérieuse et empruntée. Il vous parlait
« comme un ami à son ami », bien plus comme un enfant à son
père ; il parlait à votre oreille, à votre cœur.
Moïse a conduit
le peuple dans le désert et vous, Ô Joseph, vous y avez conduit et protégé
Jésus et Marie. La loi, dit l’apôtre, a été donnée par Moïse et la grâce par
Jésus-Christ.
Ô saint modèle et
patron des amis du Sacré-Cœur, apprenez-moi à converser avec Jésus. Obtenez-moi
l’esprit d’oraison, l’esprit véritablement intérieur et la plus grande fidélité
à la loi du Seigneur. Apprenez-moi à aimer Dieu et le prochain ; c’est là
toute la loi.
Neuvième
Jour :
Ô Saint Joseph,
si je cherchais dans l’Ancien testament et dans le Nouveau tous les saints qui
ont été les amis de Dieu ; si je relisais la vie de tous les bienheureux
qui ont illustré l’Eglise Catholique ; je pourrai dire avec Sainte
Thérèse, votre fidèle servante, que vous les surpassez tous par les soins que
vous avez rendus à Jésus et à Marie, par votre dignité et par le grand nombre
de grâces que vous pouvez nous accordez et par la place que vous occupez dans
le ciel.
Aussi je me jette
à vos pieds et vous demande toutes les grâces spirituelles et temporelles que
vous savez m’être nécessaires. Je vous confie le soin de mon âme et de mon
corps, de ma vie intérieure et extérieure, de la durée de mon existence et du
moment de ma mort. Je désire être à votre exemple un ami du Cœur de Jésus, un
ami de Notre Dame du Sacré-cœur, un ami de vous-même. Jésus, Maire, Joseph !
Ô doux noms, soyez toujours sur mes lèvres !... Que je les chante ici-bas
dans les jours de mon pèlerinage, que je les chante en quittant l’exil !
Que je les chante à jamais dans l’éternelle Patrie ! Amen.
Imprimatur,
J.Thys, can.libr.cens. 2 février 1900, indulgence de la neuvaine de Pie IX, le
5 janvier 1849.
CONSECRATION DE SOI-MÊME
(A renouveler chaque jour, recommandée)
A JESUS-CHRIST,
O Sagesse éternelle et incarnée ! O très aimable et
adorable Jésus, vrai Dieu et vrai Homme, Fils unique du Père Eternel et de
Marie, toujours Vierge, je vous adore profondément dans le sein et les
splendeurs de votre Père, pendant l’éternité, et dans le sein virginal de
Marie, votre très digne Mère, dans le temps de votre incarnation.
Je vous rends grâce de ce que vous vous êtes anéanti
vous-même, en prenant la forme d’un esclave, pour me tirer du cruel esclavage
du démon. Je vous loue et glorifie de ce que vous avez bien voulu vous
soumettre à Marie, votre sainte Mère, en toutes choses, afin de me rendre par
elle votre fidèle esclave. Mais, hélas ! Ingrat et infidèle que je suis,
je ne vous ai pas gardé les promesses que je vous ai si solennellement faites à
mon Baptême. Je n’ai point rempli mes obligations ; je ne mérite pas
d’être appelé votre enfant ni votre esclave, et comme il n’y a rien en moi qui
ne mérite vos rebuts et votre colère, je n’ose plus par moi-même approcher de
votre très saint et auguste Majesté. C’est pourquoi j’ai recours à
l’intercession de votre très Sainte Mère, que vous m’avez donnée comme
médiatrice auprès de vous ; et c’est par ce moyen que j’espère obtenir de
vous la contrition et le pardon de mes péchés, l’acquisition et la conservation
de
Je vous salue donc, ô Marie Immaculée, tabernacle vivant
de
Moi, N…, pécheur infidèle, je renouvelle et ratifie
aujourd’hui entre vos mains les vœux de mon baptême. Je renonce pour jamais à
Satan, à ses pompes et à ses œuvres, et je me donne tout entier à Jésus-Christ,
Qui potest capere capiat.
Qui sapiens, et intelliget hoec ?
DIEU SEUL
( TEXTE ORIGINAL ET INTEGRAL )
NEUVAINE DE
A
SAINT FRANCOIS XAVIER
« Saint François-Xavier, très aimable et plein de
charité, j’adore respectueusement avec vous
Pater ; Ave ; Gloria Patri.
Cette neuvaine peut être dite toute l’année ou aux dates
anniversaires : pour terminer le 12 mars ou le 3 décembre.
Pour d’autres prières, voir le site :
catholiquedu.net