FRATERNITE, ENTRAIDE SPIRITUELLE

 

NOTRE DAME DE PONTMAIN


NOTRE DAME DE PONTMAIN

 

La Fraternité Notre Dame de Pontmain est une fraternité de laïcs à laquelle peuvent se joindre des prêtres, des religieux et religieuses à titre personnel, elle propose un soutien fraternel et spirituel aux convertis qui entrent dans l’Eglise Catholique Romaine Apostolique ou à ceux qui reviennent à la pratique de la foi chrétienne en l’Eglise Catholique.

 

Ce soutien se présente sous la forme suivante :

 

1er : accueil téléphonique

 

2eme : soutien par la prière

 

Cette fraternité ne peut apporter aucun secours matériel, car elle est composée de bénévoles et ne jouit d’aucun soutien financier.

(Elle n’accepte aucun don ni en nature ni financier)

Pour la zone Nord (de Dunkerque à la Loire) : Sœur Janine, télé : 0870530223, appeler entre 18 heures et 21 heures.

 

Pour la zone Sud (de la Loire à la Méditerranée y compris la Corse) : Frère Pierre, télé : 0870223283, appeler entre 18 heures et 21 heures.

 

Ces deux numéros, ainsi que les autres à venir, sont au service de toute la communauté catholique de langue française dans le monde.

 

Ces numéros étant distribués par Free Téléphone leur coût est celui d’une communication au tarif France Télécom s’il s’agit d’un appel sur le réseau France Télécom à partir d’un fixe ; pour ce qui est des portables et autres distributeurs le réseau Free ne modifie en rien les tarifications en vigueur.

 

Règle générale pour les membres bénévoles au soutien spirituel :

 

1er : Le priant s’engage à fréquenter régulièrement le sacrement de réconciliation ou de pénitence (la confession), si possible une fois par mois.

 

2eme : Il s’efforce d’assister à la messe quotidienne autant que possible.

 

3eme : Il s’engage autant que son ou ses devoirs d’états le lui permettent à :

a) réciter le chapeler une fois dans la journée.

 

b) méditer une fois par semaine le chemin de Croix de Notre Seigneur, le vendredi de préférence, pour les intentions qui lui sont confiées.

 

c) entreprendre par mois une neuvaine de prière de son choix ou parmi celles que lui propose la Fraternité aux intentions qui lui sont confiées.

 

d) selon son état de santé, il peut également et avec prudence, pratiquer un jour de jeûne par semaine ou par mois aux intentions qui lui sont confiées.

 

Il est fortement recommandé de renouveler quotidiennement sa consécration à Marie selon la prière de consécration de Saint Louis-Marie Grignion de Montfort.

 

Pour les accueillants téléphoniques, ils suivront une petite

formation qui leur sera communiquée par courrier ou par mail.

 

La Fraternité Notre Dame de Pontmain regroupe des laïcs pieux qui veulent se mettre à la disposition de leurs frères et sœurs en vue de leur apporter une aide spirituelle soit par l’écoute soit par la prière. Cette fraternité affirme : être unie au Saint Siège et au magistère de l’Eglise sans aucune restriction, être unie au collège épiscopal. Elle n’adhère à aucun courant ni mouvement. Elle est simplement mais fermement Catholique Romaine Apostolique.

Sa création répond à une demande de Jean Paul II le Grand, elle est le fruit d’une lente réflexion et intuition mue par l’Immaculée Conception, la Vierge Marie.

 

Elle n’a aucun but lucratif.

 

Le site : lescatholiques.free.fr et la Lettre Catholique, qu’il diffuse gratuitement, soutiennent la Fraternité Notre Dame de Pontmain.

 

Prières proposées :

 

 

 

 

 

NEUVAINE EN L’HONNEUR DE SAINT JOSEPH

 

Premier Jour :

Glorieux et aimable Joseph, je viens vous invoquer pendant neuf jours sous un titre qui vous est cher. Vous avez beaucoup aimé le Cœur de Jésus et ce divin Cœur vous a infiniment aimé ; vous en êtes vraiment l’ami par excellence. Autre est la clarté du soleil, autre la clarté de la Lune, et une étoile diffère d’une autre en éclat. Ainsi les saints diffèrent entre eux. Tous furent les amis du Cœur de Jésus, mais vous l’avez été plus qu’eux tous, après la Bienheureuse Vierge Marie. Aussi tous s’inclinent devant vous. L’ancien joseph vit le Soleil, la Lune et onze étoiles l’adorer. Or Jésus, Soleil de Justice, Marie, douce comme la Lune, les apôtres, et les saints, brillants comme des étoiles se sont inclinés devant vous.

Je me joins à eux, Ô Joseph, je vous salue, Ô doux modèle et patron et vous prie de m’accorder ce que je vous demande pendant cette neuvaine.

Saint Joseph, modèle et patron des amis du sacré Cœur, priez pour nous.

 

Deuxième jour :

Saint Jean, le disciple bien-aimé, fut choisi par Jésus pour sa pureté virginale ; il a reposé sa tête sur le Cœur sacré ; il a été le gardien de la plus pure des vierges et de Jésus lui-même. Ô aimable Saint Joseph, ce que Saint Jean n’a fait qu’une fois vous l’avez fait bien souvent.

Jésus aussi a reposé sa tête innocente sur votre Cœur si pur. Marie, la Vierge Immaculée, vous a été confiée pendant de longues années.

Oh ! Penchez-vous encore sur le Cœur de Jésus, et, vous unissant à Notre-Dame du Sacré-Cœur, demandez à notre divin modèle de me rendre doux et humble de cœur. Obtenez-moi de lui ce que je vous demande pendant cette neuvaine.

Saint Joseph, priez pour nous.

 

Troisième jour :

Le précurseur du Messie, Saint Jean-Baptiste, s’est appelé « l’ami de l’Epoux ».

Il a prêché dans le désert et annoncé le Sauveur. Il a été un modèle de mortification. Vous, Ô glorieux Saint Joseph, vous avez été « l’ami de l’Epoux et de l’Epouse ». Vous avez vécu avec eux. Vous avez porté Jésus dans vos bras, dans les déserts de l’Egypte ! Vous avez pratiqué une mortification continuelle et vous avez prêché par un silence éloquent.

Rendez-moi, Ô bienheureux Père, l’ami de Jésus et de Marie, l’ami de la mortification et du silence. Accordez-moi ce que mon cœur désire, toujours conformément à la volonté de Dieu que vous avez si parfaitement accomplie.

Saint Joseph, priez pour nous.

 

Quatrième Jour :

Jésus a appelé Lazare son ami. Lazare a reçu plusieurs fois Jésus à Béthanie.

Vous, Ô Saint Joseph, vous l’avez gardé pendant plusieurs années, Jésus n’était pas à la mort de Lazare : il était loin ; mais il a assisté à la vôtre, vous donnant la main dans le passage du temps à l’éternité. Il a ressuscité Lazare et nous croyons pieusement, quoique ce ne soit pas de foi, que vous êtes en corps et en âme dans le ciel.

Ô ami privilégié de Jésus, faites-moi vivre en union avec lui. Qu’il habite toujours avec moi par la foi et par la grâce.

Qu’il ne m’abandonne pas à l’heure de la mort. Que je meure en sa compagnie, en celle de Marie et en la vôtre.

Qu’il me place à côté de vous dans le séjour des élus.

Ô Saint Joseph, obtenez-moi les autres grâces que je vous demande.

 

Cinquième Jour :

L’Evangile nous dit que Jésus aimait Marte. Celle-ci a servi Jésus quelquefois ; vous, Ô Joseph, vous l’avez servi pendant de longues années ; vous l’avez servi du matin au soir et du soir au matin. Marthe était troublée dans sa sollicitude, et vous, vous avez servi Jésus en paix et dans les plus pénibles circonstances. Marthe a nourri quelquefois le divin Sauveur ; vous, vous n »avez pas oublié « l’unique nécessaire ».

Oui, vous êtes l’ami de prédilection et le père nourricier de Jésus. Je vous confie mon âme, nourrissez-la des vertus que vous avez pratiquées. Faites-moi éviter le trouble et l’agitation. Enseignez-moi l’unique nécessaire et obtenez-moi les grâces que je demande au Cœur Sacré de Jésus.

 

 

 

Sixième Jour :

Le saint Evangile nous dit encore que Jésus aimait Marie-Madeleine. Cette illustre Sainte a arrosé des larmes du repentir les pieds de Jésus. Vous, Ô saint Joseph, vous les avez arrosés des larmes de la tendresse. Madeleine lui a prodigué ses parfums, vous lui avez prodigué vos sueurs et vos peines. Madeleine a baisé les pieds de Jésus, et vous, Ô Saint Joseph, vous avez baisé ses innocentes mains et son front serein ; vous l’avez pressé contre votre cœur. Madeleine le cherchait, après sa mort, pendant qu’il vous visitait dans les limbes.

O ami par excellence du cœur de Jésus obtenez-moi le pardon de mes péchés, des larmes de repentir et d’amour. Que je travaille désormais pour la gloire de ce Cœur Sacré et l’avènement de son règne. Daignez m’obtenir aussi les grâces que je demande pendant cette neuvaine.

 

Septième Jour :

Je ne vous appellerai plus serviteurs, disait Jésus à ses apôtres, mais je vous appellerai « mes amis », parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son maître.

A vous j’ai fait connaître tout ce que j’ai appris de mon Père. Ô glorieux Saint Joseph, vous avez connu avant les apôtres le grand mystère de l’Incarnation. Que de secrets après celui-là Jésus ne vous a-t-il pas révélés ! Comme les apôtres, vous êtes allé porter le Sauveur aux nations étrangères, au péril de votre vie ; Avec Marie vous avez été le premier missionnaire du Sacré Cœur ; vous avez été le martyr caché et inconnu du secret de l’Incarnation et vous êtes mort d’amour pour Jésus.

Saint Joseph, rendez-moi, en quelque manière votre imitateur. Nous pouvons tous être plus ou moins les missionnaires du Sacré-Cœur ; Embrasez mon cœur du feu de votre zèle et de votre amour pour le divin cœur. Je vous demande de nouveau la grâce particulière de cette neuvaine.

 

 

 

Huitième Jour :

L’Exode nous dit : « Le Seigneur parlait à Moïse face à face comme un homme a coutume de parler à son ami ».

Le Verbe fait chair vous parlait véritablement face à face, Ô grand Saint Joseph ! Il ne vous parlait pas sous une forme mystérieuse et empruntée. Il vous parlait « comme un ami à son ami », bien plus comme un enfant à son père ; il parlait à votre oreille, à votre cœur.

Moïse a conduit le peuple dans le désert et vous, Ô Joseph, vous y avez conduit et protégé Jésus et Marie. La loi, dit l’apôtre, a été donnée par Moïse et la grâce par Jésus-Christ.

Ô saint modèle et patron des amis du Sacré-Cœur, apprenez-moi à converser avec Jésus. Obtenez-moi l’esprit d’oraison, l’esprit véritablement intérieur et la plus grande fidélité à la loi du Seigneur. Apprenez-moi à aimer Dieu et le prochain ; c’est là toute la loi.

 

Neuvième Jour :

Ô Saint Joseph, si je cherchais dans l’Ancien testament et dans le Nouveau tous les saints qui ont été les amis de Dieu ; si je relisais la vie de tous les bienheureux qui ont illustré l’Eglise Catholique ; je pourrai dire avec Sainte Thérèse, votre fidèle servante, que vous les surpassez tous par les soins que vous avez rendus à Jésus et à Marie, par votre dignité et par le grand nombre de grâces que vous pouvez nous accordez et par la place que vous occupez dans le ciel.

Aussi je me jette à vos pieds et vous demande toutes les grâces spirituelles et temporelles que vous savez m’être nécessaires. Je vous confie le soin de mon âme et de mon corps, de ma vie intérieure et extérieure, de la durée de mon existence et du moment de ma mort. Je désire être à votre exemple un ami du Cœur de Jésus, un ami de Notre Dame du Sacré-cœur, un ami de vous-même. Jésus, Maire, Joseph ! Ô doux noms, soyez toujours sur mes lèvres !... Que je les chante ici-bas dans les jours de mon pèlerinage, que je les chante en quittant l’exil ! Que je les chante à jamais dans l’éternelle Patrie ! Amen.

Imprimatur, J.Thys, can.libr.cens. 2 février 1900, indulgence de la neuvaine de Pie IX, le 5 janvier 1849.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

CONSECRATION DE SOI-MÊME

(A renouveler chaque jour, recommandée)

 

A JESUS-CHRIST, LA SAGESSE INCARNEE, PAR LES MAINS DE MARIE.

 

O Sagesse éternelle et incarnée ! O très aimable et adorable Jésus, vrai Dieu et vrai Homme, Fils unique du Père Eternel et de Marie, toujours Vierge, je vous adore profondément dans le sein et les splendeurs de votre Père, pendant l’éternité, et dans le sein virginal de Marie, votre très digne Mère, dans le temps de votre incarnation.

Je vous rends grâce de ce que vous vous êtes anéanti vous-même, en prenant la forme d’un esclave, pour me tirer du cruel esclavage du démon. Je vous loue et glorifie de ce que vous avez bien voulu vous soumettre à Marie, votre sainte Mère, en toutes choses, afin de me rendre par elle votre fidèle esclave. Mais, hélas ! Ingrat et infidèle que je suis, je ne vous ai pas gardé les promesses que je vous ai si solennellement faites à mon Baptême. Je n’ai point rempli mes obligations ; je ne mérite pas d’être appelé votre enfant ni votre esclave, et comme il n’y a rien en moi qui ne mérite vos rebuts et votre colère, je n’ose plus par moi-même approcher de votre très saint et auguste Majesté. C’est pourquoi j’ai recours à l’intercession de votre très Sainte Mère, que vous m’avez donnée comme médiatrice auprès de vous ; et c’est par ce moyen que j’espère obtenir de vous la contrition et le pardon de mes péchés, l’acquisition et la conservation de la Sagesse.

Je vous salue donc, ô Marie Immaculée, tabernacle vivant de la Divinité, où la Sagesse éternelle cachée veut être adorée des Anges et des hommes. Je vous salue, ô Reine du Ciel et de la Terre, à l’empire de qui est soumis tout ce qui est au-dessous de Dieu. Je vous salue, ô Refuge assuré des pécheurs, dont la miséricorde ne manque à personne ; exaucez les désirs que j’ai de la divine Sagesse, et recevez pour cela les vœux et les offres que ma bassesse vous présente.

Moi, N…, pécheur infidèle, je renouvelle et ratifie aujourd’hui entre vos mains les vœux de mon baptême. Je renonce pour jamais à Satan, à ses pompes et à ses œuvres, et je me donne tout entier à Jésus-Christ, la Sagesse Incarnée, pour porter ma croix à sa suite tous les jours de ma vie. Et afin que je lui sois plus fidèle que je ne l’ai été jusqu’ici, je vous choisis aujourd’hui, ô Marie, en présence de toute la Cour céleste, pour ma Mère et Maîtresse. Je vous livre et consacre, en qualité d’esclave, mon corps et mon âme, mes biens intérieurs et extérieurs, et la valeur même de mes bonnes actions passées, présentes et futures, vous laissant un entier et plein droit de disposer de moi et de tout ce qui m’appartient, sans exception, selon votre bon plaisir, à la plus grande gloire de Dieu, dans le temps et l’éternité. Recevez, ô Vierge bénigne, cette petite offrande de mon esclavage, en l’honneur et union de la soumission que la Sagesse éternelle a bien voulu avoir à votre maternité ; en hommage de la puissance que vous avez tous deux sur ce petit vermisseau et ce misérable pécheur ; en action de grâce des privilèges dont la sainte Trinité vous a favorisée. Je proteste que je veux désormais, comme votre véritable esclave, chercher votre honneur et vous obéir en toutes choses. O Mère admirable, présentez-moi à votre très cher Fils, en qualité d’esclave éternel, afin que, m’ayant racheté par vous, il me reçoive par vous. O Mère de miséricorde, faites-moi la grâce d’obtenir la vraie Sagesse de Dieu, et de me mettre pour cela au nombre de ceux que vous aimez, que vous enseignez, que vous conduisez, que vous nourrissez et protégez comme vos enfants et vos esclaves. O Vierge fidèle, rendez-moi en toutes choses un si parfait disciple, imitateur et esclave de la Sagesse incarnée, Jésus-Christ, Votre Fils, que j’arrive, par votre intercession et à votre exemple, à la plénitude de son âge sur la Terre, et de sa Gloire dans les Cieux. Ainsi soit-il.

Qui potest capere capiat.

Qui sapiens, et intelliget hoec ?

DIEU SEUL

( TEXTE ORIGINAL ET INTEGRAL )

 

 

NEUVAINE DE LA GRACE

A

SAINT FRANCOIS XAVIER

 

« Saint François-Xavier, très aimable et plein de charité, j’adore respectueusement avec vous la Divine Majesté ; et parce que j’ai une très grande joie des dons particuliers de la grâce qu’Elle vous a accordés pendant votre vie, et de ceux de la gloire après votre mort, je Lui rends de très grandes actions de grâces, et je vous supplie de tout mon cœur de vouloir bien m’obtenir, par votre puissante intercession, la grâce de vivre et de mourir saintement. En outre, je vous demande de m’obtenir (exprimer ici la grâce spirituelle ou temporelle que l’on veut obtenir). Mais si ce que je demande humblement par vous n’est pas pour la gloire de Dieu et le plus grand bien de mon âme, obtenez-moi, je vous en prie, ce qui doit être le plus utile à l’autre. Ainsi soit-il. »

Pater ; Ave ; Gloria Patri.

 

Cette neuvaine peut être dite toute l’année ou aux dates anniversaires : pour terminer le 12 mars ou le 3 décembre.

 

Pour d’autres prières, voir le site : catholiquedu.net